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Archives de Catégorie: Paroles d’artistes

Le projet « Lampes d’Artistes » vu par les artistes-plasticiens.

Je marche au feeling, au plaisir …

04 mardi Nov 2014

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Aquitaine, artiste, Artiste peintre, arts plastiques, design, dordogne, Isa Slivance, lampe, lampes d'artistes, luminaire, Peintre

lampe SlivanceBruno Touzot : – Pourquoi as-tu accepté d’intervenir sur une lampe Modul’o 5 dans le cadre du projet « Lampes d’Artistes » de Zygot’o design ?

Isa Slivance : – J’ai accepté cette collaboration artistique, parce que le terme même de Modul’o m’a plu. Je marche au feeling, au plaisir…

BT : – Et quelle a été ta démarche artistique ?

IS : – J’ai vu qu’avec toutes ces faces, les possibilités d’assemblage étaient nombreuses, je les ai, donc, toutes travaillées en résonance.

Certes quand la Modul’o 5 est montée, seules deux faces sont visibles, mais comme la lampe est facilement démontable, on peut choisir d’autres combinaisons et obtenir, ainsi de multiples visions.

Dans mon travail en général, qu’il soit réalisation de livres d’artistes, création d’œuvres sur papier ou même gravure, j’aime proposer des petites variantes, faire qu’au final, l’acquéreur puisse choisir, pour une même œuvre, la version qu’il préfère, voire, comme pour cette lampe qu’il devienne, dans une certaine mesure, coauteur de l‘œuvre.

Dans un projet comme celui-ci, c’est le dialogue avec le public, initié par l’œuvre et avec l’émotion qu’il engendre, qui m’intéresse.

Jouer le côté « modulo » de la lampe …

19 vendredi Sep 2014

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antoine izambard, artiste, Bretagne, design, lampes d'artistes, luminaire, Valérie Le Blévec, zygot'o design

Antoine Izambard : – Quand vous avez été contactée par Zygot’o design, comment avez-vous réagi : méfiance, surprise, satisfaction qu’on ait pensé à vous ?

Valérie Le Blévec : – J’ai immédiatement été séduite par le projet et agréablement surprise d’avoir été choisie pour faire partie de l’aventure « Lampes d’artistes ».

Le Blévec FB         Le Blévec FB2

AI : – Vous avez, ensuite, décidé de participer à l’opération “Lampes d’Artistes” de Zygot’o design, pourquoi ? Quelles ont été, alors, vos motivations?

VL : – Le fait de travailler sur un support différent de la toile m’a paru immédiatement intéressant. Quant aux contraintes très fortes liées à la géométrie de la lampe, loin de me poser problème, elles ont été pour moi l’occasion de me dépasser et d’être plus créative. Enfin j’ai, aussi, apprécié la possibilité de diffuser différemment mes œuvres.

AI : – Dans votre parcours d’artiste, avez-vous déjà travaillé avec un architecte, un designer ou un artisan d’art ?

VL : – Oui, pour des mises en couleurs de bâtiments.

AI : – N’avez-vous pas craint d’y perdre un peu votre “âme” de créateur en travaillant sur ce support ?

VL : – Non cela ne m’a pas traversé l’esprit. Et puis le travail de création reste toujours le même quelque soit le support. De plus nous n’avions aucune contrainte artistique en dehors du respect de l’intégrité géométrique du support.

AI : – Votre art peut-il être “décoratif” ou est-ce antinomique avec votre travail ?

VL : – Je pense que mon art peut être décoratif à partir du moment où il s’associe à un support fonctionnel: lampes, tables, miroirs ou autres objets, cela ne me pose pas de problème.
Je n’ai pas la prétention de revendiquer quoi que se soit quant à la manière dont on qualifie mon travail. De toute façon, mon œuvre ne s’inscrit pas dans une logique de séries. Chaque toile est unique et correspond à un moment précis de mon parcours créatif.

AI : – Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées, conceptuelles, pratiques ?

VL : – La problématique pour moi était de jouer le côté « modulo » de la lampe et, ainsi, de permettre la réalisation de compositions variées. Cinq panneaux recto-verso interchangeables, cela permet d’innombrables combinaisons … et c’est ce qui m’a intéressée.

AI : – Une édition de multiples, par reproduction mécanique, est-elle envisageable pour vous ?

VL : – D’un côté je peux répondre non, parce que toute l’originalité du projet se trouve justement dans la réalisation d’une pièce unique. Mais d’un autre, oui, parce que j’apprécie aussi l’aspect purement design avec la contrainte d’une vente en grande quantité à un prix moins élevé.

Alors, je me déciderai, en fonction d’une éventuelle proposition concrète …

AI : – Si c’était à refaire, seriez-vous toujours partante ?

VL : – Oui avec plaisir.

Propos recueillis par Antoine Izambard

 

Traiter l’ombre et la lumière de manière tangible …

18 lundi Août 2014

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antoine izambard, artiste, arts plastiques, dordogne, Evelyne Jaffrain, lampes d'artistes, zygot'o design

Lampe EV2

Antoine Izambard : – Quand vous avez été contactée par Zygot’o design, comment avez-vous réagi : méfiance, surprise, satisfaction qu’on ait pensé à vous ?

Evelyne Jaffrain : – L’idée était singulière et pour me donner un aperçu de l’opération, j’ai consulté le site de Zygot’o design.

AI : – Vous avez, ensuite, décidé de participer à l’opération “Lampes d’Artistes” de Zygot’o design, pourquoi ? Quelles ont été, alors, vos motivations?

EJ : – J’ai trouvé intéressant de donner suite à cette proposition en imaginant la confrontation des expressions artistiques plurielles de chaque artiste participant, motivée, par ailleurs, par le challenge donné d’allier arts plastiques et design.

AI : – Dans votre parcours d’artiste, avez-vous déjà travaillé avec un architecte, un designer ou un artisan d’art ?

EJ : – Je n’ai pas eu cette opportunité. Dommage !!!

AI : – En quoi ce type d’intervention plastique, pratiquée sur un objet manufacturé, diffère-t-elle de votre pratique habituelle ?

EJ : – Les interventions sur un objet manufacturé doivent dans le cas présent mixer l’artistique et le fonctionnel. C’est en ce sens que cela diffère de ma pratique habituelle. Sur les seuls supports que j’utilise tels que toiles, papiers ou encore installations à plus grande échelle et les techniques mixtes employées je me « limite » à une thématique exclusive dans le cadre d’un travail sériel porteur de sens. Je suis donc éloignée de toute création à visée utilitaire ou décorative.

Pour ce qui concerne cette lampe Modulo, afin de traiter l’ombre et la lumière de manière tangible, j’ai inclus du sable pour créer des surfaces avec aspérités, lesquelles seraient accentuées par l’action de l’éclairage sur les plaques constituant le corps de la lampe. C’est ainsi que la mise en œuvre de mes techniques mixtes habituelles ont été mises au service de l’objet manufacturé, en recherchant l’effet esthétisant.

AI : – N’avez-vous pas craint d’y perdre un peu votre “âme” de créateur en travaillant sur ce support ?

EJ : – Il m’en faut plus pour perdre mon âme d’artiste !…
Tout support peut être propice à la création, et mon intervention plastique sur cette lampe n’a aucunement altéré mon engagement de plasticienne. Axée sur la représentation d’un paysage abstrait, sobre, mat et monochrome, voire poétique, j’ai appliqué, ici, les spécificités de ma technique picturale, et par ce biais-là je me suis retrouvée sur mon territoire.

AI : – Votre art peut-il être “décoratif” ou est-ce antinomique avec votre travail ?

EJ : – J’ai en effet quelques réticences avec le dit « décoratif », et je ne peux pas travailler dans cet axe au sens exclusif du terme. Mes toiles abstraites, dont certaines sont à peine traversées par quelques formes végétales identifiables ou autres natures mortes, sont dans l’ensemble austères, sombres, mais pas ornementales, me semble-t-il…

AI : – Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées, conceptuelles, pratiques ?

EJ : – Pas de difficultés particulières. Pour la mise en œuvre, j’ai réalisé des croquis avant de délimiter les zones à traiter après avoir déposé les panneaux de bois et numéroté chacun d’entre eux sur ma table de travail. Ce repérage des différentes faces des plaques de bois à traiter s’est imposé car le travail sur les faces extérieures devaient se différencier des faces intérieures constituant la lampe.

AI : – Une édition de multiples, par reproduction mécanique, est-elle envisageable pour vous ?

EJ : – Comment reproduire mécaniquement la matière picturale, comment représenter les différentes épaisseurs réalisées avec du sable ou de la poudre de marbre par exemple ? Si un procédé technique le permet alors pourquoi pas !

Néanmoins, il reste possible de réaliser des séries de lampes sur un thème donné qui ne seraient pas pour autant des éditions de multiples.

AI : – Si c’était à refaire, seriez-vous toujours partante ?

EJ : – Oui, sans problème.

Propos recueillis par Antoine Izambard

Claude Burdin : J’ai envie de dire : confiez-moi vos supports !

03 mardi Juin 2014

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claude burdin, lampes d'artistes, lampesdartistes, zygot'o design

Antoine Izambard : – Quand vous avez été contacté par Zygot’o design, comment avez-vous réagi : méfiance, surprise, satisfaction qu’on ait pensé à vous ?

Claude Burdin : – Un premier contact par mail, lu avec un peu d’étonnement, mais suivi d’échanges autour de l’idée d’une collaboration sur la lampe Modul’o 5 ont permis de m’engager dans ce projet. De toute évidence, c’est par mon site cburdin.eu que Zygot’o design a pris connaissance de mon travail.

AI : – Vous avez, ensuite, décidé de participé à l’opération “Lampes d’Artistes” de Zygot’o design, pourquoi ? Quelles ont été, alors, vos motivations ? 

CB : – La recherche sur la représentation de la danse m’a conduit à créer « Gum », un personnage composé sur la base modulaire de « l’Homme de Vitruve ». A partir de la position statique du dessin de Léonard, la mise en mouvement du danseur devenait réalisable et reproductible sur différents supports.

Claude Burdin2 Danceurs de Claude Burdin

 

AI : – Dans votre parcours d’artiste, avez-vous déjà travaillé avec un architecte, un designer ou un artisan d’art ?

CB : – Non, mais l’opportunité m’en a été donnée avec ce projet. Par ailleurs, je recherche un financement pour la réalisation d’une sculpture en métal de grandes dimensions, environ 4 m de hauteur, composée de plusieurs danseurs et réalisable en tube carré cintré par une entreprise partenaire de Savoie. 

AI : – En quoi ce type d’intervention plastique, pratiquée sur un objet manufacturé, diffère-t-elle de votre pratique habituelle ?

CB : – L’acte artistique, en dessin, peinture ou sculpture, est synonyme pour moi d’unicité de l’œuvre. Cependant, la composition de silhouettes de danseurs que l’on trouve sur la « lampe d’artiste » s’inscrit dans le prolongement de dessins sous forme de série, comme « Grande Parade » qui regroupe des centaines de silhouettes sur de grands formats (70 x 100 cm).

AI : – N’avez-vous pas craint d’y perdre un peu votre “âme” de créateur en travaillant sur ce support ?

CB : – Bien au contraire. Le dessin de ce personnage dansant est destiné à être apposé sur tout support et à toute échelle, comme décrit lors du dépôt de modèle auprès de l’INPI.

AI : – Votre art peut-il être “décoratif” ou est-ce antinomique avec votre travail ?

CB : – Ma collaboration sur ce projet entre dans la dimension « décorative » de mes interventions. Mon activité de plasticien me permet de diversifier les productions et je développe actuellement le concept de « transversale créative » qui ouvre des possibilités multiples. C’est ainsi que par exemple, lors d’une collaboration avec une école de musique, les rouleaux de dessins de danseurs ont servi de partition aux élèves… qui ont produit des séquences musicales savoureuses. Autre exemple de collaboration avec des danseurs de Hip-hop dont les T-shirts sont ornés de silhouettes…

J’ai envie de dire : confiez-moi vos supports !

AI : – Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées, conceptuelles, pratiques ?

CB : – La partie la plus délicate a concerné la mise en œuvre. Une recherche a été nécessaire pour la mise au point du processus d’application de la peinture. Le choix s’est finalement porté sur un fond travaillé en bichromie à la peinture acrylique. Sur ce support d’aspect minéral a été appliquée une composition graphique originale réalisée à la peinture à l’huile. Un vernis protège l’ensemble.

AI : – Une édition de multiples, par reproduction mécanique, est-elle envisageable pour vous ?

CB : – Tout à fait. Une phase d’étude préalable (faisabilité, calcul de coût) serait un passage obligé avant une mise en fabrication, peut-être en utilisant une technique comme la sérigraphie.

AI : – Si c’était à refaire, seriez-vous toujours partant ?

CB : – Oui

Propos recueillis par Antoine Izambard

 

Helen Hill : j’étais curieuse et intriguée …

23 vendredi Mai 2014

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antoine izambard, helen hill, lampes d'artistes

Antoine Izambard : – Quand vous avez été contactée par Zygot’o design, comment avez-vous réagi : méfiance, surprise, satisfaction qu’on ait pensé à vous ? 

Helen Hill : – D’abord je me suis sentie curieuse et j’ai trouvé l’idée très inattendue et novatrice.

AI : –  Vous avez, ensuite, décidé de participer à l’opération “Lampes d’Artistes” de Zygot’o design, pourquoi ? Quelles ont été, alors, vos motivations?

HH : – Suite à ma première réaction surprise et intriguée, j’ai considéré ce projet comme un défi. J’ai toujours aimé les situations créatives inattendues afin d’éviter la routine et les automatismes. J’essaie, dans ma recherche artistique, de rester ouverte.

Je travaille par séries, donc, et bien que mon évolution soit assez linéaire dans chaque série, j’espère ne pas suivre un chemin tout tracé. Me tromper, ne pas arriver à un résultat satisfaisant ne m’aurait pas posé de problèmes car dans la création il n y a jamais la garantie de quoi que ce soit.

On passe sa vie à reprendre, retravailler, refaire, réessayer encore et encore, c’est ça le bonheur de la création !

AI : – Dans votre parcours d’artiste, avez-vous déjà travaillé avec un architecte, un designer ou un artisan d’art ?

HH : –  Non, jamais.

AI : – En quoi ce type d’intervention plastique, pratiquée sur un objet manufacturé, diffère-t-elle de votre pratique habituelle ?

HH : – Quand je réalise mes œuvres, en principe je travaille sur un support plat, carré ou rectangulaire.

Jusqu’à maintenant le travail fait en volume a été, soit du collage sur une sculpture en 3D, soit juste pour habiller notre intérieur, « décorer » quelques objets sans faire une recherche en profondeur.

Pour ce projet je n’ai surtout pas voulu tomber dans la décoration d’un objet. Il fallait travailler la lampe d’une manière beaucoup plus sérieuse que le remplissage des surfaces. Il fallait essayer de considérer les plaques comme des supports mais en prenant en compte les vides centraux comme des espaces « positifs ».

AI : – N’avez-vous pas craint d’y perdre un peu votre “âme” de créateur en travaillant sur ce support ?

HH : – Je n’ai pas eu ce genre de problème avec le projet parce que le travail entrepris était de mon propre choix et que je n’ai fait aucun compromis. Je crois que pour certaines personnes, artistes ou pas, autour de moi, ce projet aurait posé un sacré problème !

Dommage pour eux !

Le purisme ne doit pas primer sur la liberté de création et les choix de chacun.

AI : – Votre art peut-il être “décoratif” ou est-ce antinomique avec votre travail ?

HH : – Il y a des gens qui critiquent fortement l’esprit un peu « décoratif » de mes œuvres ainsi que mon envie de faire ressentir mon amour pour la beauté évoquée par la nature.

Comment célébrer la beauté sans tomber dans le décoratif ? Ce n’est pas facile. Depuis des siècles des artistes ont travaillé sur la beauté sans systématiquement faire des œuvres décoratives !

Bien entendu, l’art purement décoratif ne reflète pas la réalité et en tant qu’artiste cela ne m’intéresse pas du tout dans mes réalisations personnelles.

AI : – Quelles sont les difficultés que vous avez rencontrées, conceptuelles, pratiques ?

HH : – D’abord, les vides centraux ! Les bords arrondis aussi ! Comment composer l’image, comment intégrer ces éléments pour en faire un tout et éviter de simplement « décorer » une surface donnée ? Il fallait trouver un thème, un fil conducteur.

Par contre l’aspect purement technique ne m’a pas posé de problèmes particuliers.

AI : – Une édition de multiples*, par reproduction mécanique, est-elle envisageable pour vous ?

HH : – Je doute fortement que ce soit possible car l’aspect de la surface d’un collage, même si c’est assez lisse, est important et j’imagine difficilement qu’on puisse le reproduire.

Comme principe je n’ai rien contre mais je préférerais, de beaucoup, l’idée de faire d’autres lampes uniques en séries ou par thèmes.

AI : – Si c’était à refaire, seriez-vous toujours partante ?

HH : – Bien sûr.

Image

Helen Hill au travail dans son atelier en Dordogne.

* Œuvre d’art contemporain, le plus souvent tridimensionnelle, éditée en plusieurs exemplaires.

Propos recueillis par Antoine Izambard

 

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